Une lettre ouverte adressée à Frédéric Haziza, ça peut sembler loin d’un ring de boxe. Pourtant, ce qui se joue autour de l’épisode « Boxing Day #61 », des polémiques médiatiques et de la liberté d’expression, ressemble furieusement à un combat à haute intensité. D’un côté, un journaliste habitué aux plateaux, aux joutes politiques et aux tempêtes sur les réseaux. De l’autre, un climat public saturé, où chaque mot devient une arme, chaque prise de position un crochet, chaque lynchage numérique un mauvais sparring. Entre les plaintes, les accusations de doxing, les débats sur l’antisémitisme, le rôle des médias et la place des voix dissidentes, le décor est posé : ce n’est plus seulement un échange d’arguments, c’est un combat de mental, un test de mindset sportif appliqué à l’arène médiatique.
Cette lettre ne cherche pas à juger mais à confronter, comme dans un bon travail de sparring. Elle revient sur l’esprit du Boxing Day #61, les tensions entre un journaliste comme Haziza et des espaces indépendants comme Blast, le souffle de l’info. Elle interroge la responsabilité de ceux qui ont un micro, un compte X (ex-Twitter) très suivi, un accès direct aux foules numériques. Elle met en face à face deux univers : la boxe anglaise, avec ses règles claires, son respect et sa sueur, et le champ médiatique, souvent plus flou, plus lâche, plus violent parce que les coups ne se voient pas. Au milieu, il y a le lecteur, le citoyen, le jeune qui cherche un repère, une forme de motivation sport mais aussi d’honnêteté dans l’info. Ici, on utilise l’image du ring pour lire ce qui se passe dans les médias : gestion de la pression, prise de risque, respect de l’adversaire, discipline, et surtout, capacité à se remettre en question quand on a peut‑être frappé en dessous de la ceinture.
En bref :
- Haziza comme « boxeur médiatique » : un journaliste qui attaque fort, mais qui oublie parfois ce que c’est que tenir une garde propre sur le terrain du respect.
- Boxing Day #61 : un épisode qui sert de prétexte pour parler de la responsabilité des voix publiques, des plaintes, des accusations d’antisémitisme et de doxing.
- Mental de boxeur vs mental médiatique : comment appliquer la discipline, l’éthique et le respect de la boxe à la parole publique.
- Médias indépendants comme Blast : rôle, utilité et limites d’un média qui se veut citoyen, anti-corruption et libre des pressions financières.
- Le lecteur comme fighter : transformer ce chaos médiatique en carburant pour son propre mindset, sans devenir un punching-ball des narratifs préfabriqués.
Lettre ouverte à Frédéric Haziza : quand le ring médiatique tourne à la bagarre de rue
Dans cette lettre ouverte, la figure de Frédéric Haziza apparaît comme celle d’un combattant qui a troqué les gants de cuir pour un micro et un clavier. Ses prises de parole répétées contre certains élus, notamment de la France insoumise, ont été documentées et critiquées. Une publication visant une députée, la présentant comme obsédée par un antisémitisme supposé, n’était pas un simple jab isolé, mais l’ultime coup d’une longue série de frappes ciblées. Quand un journaliste en est à des dizaines de posts visant la même mouvance, la question qui se pose est simple : information ou fixette ? Comment rester dans l’info sans tomber dans le harcèlement ?
Sur un ring, un boxeur sait qu’il y a des zones interdites. Les coups sous la ceinture, les torsions, les coups après le « stop » de l’arbitre, tout ça est sanctionné. Dans le champ médiatique, les règles existent aussi : respecter la personne, éviter les amalgames, ne pas coller des étiquettes définitives à coups de tweets incendiaires. Quand Haziza traite une élue comme si son existence politique se résumait à une forme de haine, ce n’est plus un échange d’arguments, c’est une tentative de la coller dans un coin, sans sortie possible. Or, un véritable mental de boxeur, c’est frapper fort, mais avec mesure, en gardant l’idée que l’autre reste un adversaire, pas un ennemi à détruire.
Les plaintes déposées de part et d’autre – pour doxing, pour diffamation, pour harcèlement – montrent que tout ça dépasse la simple polémique. Quand on cite le nom d’un journaliste devant un public militant, en l’associant à une communauté, à une accusation ou à une menace ressentie, on joue avec le feu. Quand ce même journaliste expose en retour des responsables politiques à une pluie de soupçons publics, on rallume un autre brasier. C’est du 12 rounds en continu, sans gong pour arrêter le combat. Et dans ce chaos, ceux qui encaissent le plus sont souvent les anonymes : militants, auditeurs, citoyens pris dans la mêlée.
Cette lettre demande à Haziza une chose claire : retrouver une garde propre. Un journaliste ne devrait pas devenir un boxeur qui cherche le KO permanent à coups de tweets. Le rôle de la presse, surtout quand on travaille pour une radio communautaire engagée, ce n’est pas de distribuer des certificats de moralité politique, encore moins de nourrir l’idée que tel camp serait intrinsèquement coupable, tel autre naturellement innocent. La boxe apprend l’humilité : celui qui domine un round peut se faire éteindre au suivant. Le champ médiatique devrait apprendre la même chose : aucun camp n’a le monopole de la vérité, et celui qui frappe sans cesse le même visage finit par perdre en crédibilité.
Dans cette optique, le retour récurrent de Haziza dans les polémiques, y compris après des épisodes sombres liés à des accusations d’agression sexuelle dans un autre contexte, nourrit un malaise. La rédaction de certaines chaînes s’est déjà opposée à son retour à l’antenne. Cela montre bien qu’au-delà des discours sur la liberté d’expression, une question se pose : qui est digne de tenir le micro, qui a la légitimité pour dénoncer les dérives des autres ? Dans un monde régi par l’image et les perceptions, l’exemplarité n’est pas une option, c’est un ciment. Et quand elle se fissure, l’uppercut de la réalité finit toujours par passer.
Le cœur de cette lettre est là : rappeler que la parole médiatique doit se tenir comme un boxeur dans le ring. Garde haute, coups précis, respect de l’adversaire, et surtout, acceptation des règles. Sans ça, le combat devient une bagarre de rue, et tout le monde y perd, sauf ceux qui vivent du chaos.

Retour sur le Boxing Day #61 : un round médiatique qui en dit long
Le Boxing Day #61 dont il est question dans cette lettre ouverte n’est pas une simple chronique perdue dans un flux de contenus. C’est un épisode symbolique, un moment où la confrontation entre un certain journalisme de plateau et un média indépendant comme Blast, le souffle de l’info a pris une dimension presque sportive. Blast s’est présenté comme un média libre, financé par ses lecteurs, engagé contre la corruption et les dérives du pouvoir. Son ton, plus cash, plus frontal, a rappelé la façon dont un entraîneur peut engueuler un boxeur qui se repose sur ses acquis. Face à eux, Haziza apparaît comme l’incarnation d’un système médiatique traditionnel qui supporte mal d’être remis en question.
Dans ce Boxing Day, le style est assumé : interpellation directe, chiffres, rappel des publications à répétition, démontage des discours simplistes. C’est un travail qui ressemble au débrief d’un combat : replay image par image, analyse des coups, mise en lumière des séquences où l’un des combattants a dérapé. Sauf qu’ici, le ring, c’est l’espace public, et le replay, ce sont les archives de X, les articles de presse, les interventions en plateau. Ce travail d’archivage, souvent méprisé par ceux qui préfèrent l’instantané, est pourtant crucial. En boxe comme en info, on progresse en revisionnant ses rounds, pas en les effaçant.
Face à cet épisode, certains ont crié au tribunal populaire numérique, d’autres y ont vu un contre-pouvoir salutaire. La vérité se situe, comme souvent, entre les deux. Un média indépendant qui démonte point par point les postures d’un journaliste influenceur peut en effet tomber dans la tentation de la vengeance symbolique. Mais il rend aussi un service précieux : rappeler que personne n’est intouchable. De la même manière qu’un champion du monde peut se faire surprendre par un challenger affamé, une grande figure médiatique peut se faire mettre au tapis par un média plus petit, mais plus discipliné et plus rigoureux dans son entraînement boxe informationnel.
Ce Boxing Day #61 pose surtout une question de fond : qu’est-ce qu’un bon « sparring » dans le monde des idées ? Un bon sparring partner ne cherche pas à humilier, il cherche à faire progresser. Il expose les failles, il teste les réflexes, il met la pression juste assez pour que l’autre soit obligé d’ajuster sa garde. Blast, avec ce format, joue ce rôle : pousser les figures publiques à se justifier, à argumenter, à sortir du confort de la punchline. Reste à savoir si ceux qui sont visés choisissent de progresser… ou de se réfugier derrière la plainte systématique.
Ce qui est utile pour toi, lecteur, c’est de voir dans ce Boxing Day un cas d’école. Quand tu regardes un combat de boxe anglaise, tu apprends autant des erreurs que des victoires. Ici, on voit ce qui se passe quand un journaliste confond influence et mission, quand un média indépendant flirte avec la tentation du règlement de comptes, et quand le public sert de juge-arbitre, souvent sans avoir suivi tout le combat. La leçon : ne consomme pas ces contenus comme un simple spectacle. Utilise-les pour aiguiser ton propre mindset sportif citoyen : vérifier, croiser, douter, mais surtout, ne pas déléguer entièrement ta pensée à ceux qui parlent plus fort.
En sortant de ce round médiatique, une chose est claire : le vrai gagnant n’est pas celui qui crie le plus, mais celui qui reste fidèle à sa discipline. Dans la salle comme dans l’info, celui qui progresse, c’est celui qui accepte la critique et retourne bosser.
Mental de boxeur, mental de journaliste : mĂŞme combat ou trahison du ring ?
Le parallèle entre mental de boxeur et mental de journaliste n’est pas qu’une métaphore stylée. Les deux métiers jouent avec la pression, l’exposition, le risque de se faire toucher. Mais là où un boxeur apprend très vite que sans respect des règles et sans discipline, sa carrière s’arrête net, beaucoup de journalistes starifiés ont oublié ce cadre invisible qui protège le jeu démocratique. Un combattant sérieux gère son cardio, surveille sa préparation physique, travaille ses appuis. Un journaliste sérieux, lui, devrait gérer son ego, surveiller ses sources, travailler son honnêteté.
Quand Haziza multiplie les coups médiatiques sur les mêmes cibles politiques, la question n’est pas seulement « a-t-il raison ou tort ? ». La question est : où est la limite entre vigilance et obsession ? Un boxeur qui cherche le KO à chaque seconde finit par se cramer. Il perd son timing, devient prévisible, et se fait contrer. Un journaliste qui veut absolument transformer chaque adversaire idéologique en danger existentiel tombe dans la même dérive. Il finit par voir des ennemis partout, par alimenter une tension permanente, et par perdre la confiance d’une partie du public qui cherche encore de l’info, pas un feuilleton.
Pour tenir dans la durée, un fighter construit une forme de calme intérieur. Il sait que le ring est bruyant, que le public crie, que le coin hurle. Pourtant, il garde sa ligne. C’est cette qualité qui manque souvent au débat médiatique. À force de vivre sur les réseaux, de réagir au quart de tour, de compter les likes comme d’autres comptent les coups portés, certains journalistes se comportent comme des boxeurs qui s’entraîneraient uniquement en exhibition, sans jamais faire de vrais rounds à huis clos. Impossible alors de construire un vrai mindset combat.
La discipline, au sens sportif, pourrait pourtant servir de boussole. Dans une salle de boxe, on apprend :
- Respect du cadre : le ring, l’arbitre, les règles, l’adversaire.
- Gestion de l’émotion : ne pas partir en vrille après un coup mal encaissé.
- Travail invisible : rounds de sac, corde, shadow, répétitions sans public.
- Humilité : accepter de perdre un sparring pour progresser.
- Responsabilité : chaque coup lancé peut blesser, physiquement ou mentalement.
Appliqué au journalisme, ça donnerait une attitude radicalement différente. Avant de lâcher une accusation publique, on la vérifie. Avant d’enchaîner sur la même personne, on se demande si l’on informe encore ou si l’on règle un compte personnel. Avant de hurler au harcèlement quand on est critiqué, on regarde sa propre façon de frapper. Ce travail d’introspection, c’est l’équivalent mental d’un entraînement boxe bien structuré.
Le style Haziza – rapide, incisif, frontal – pourrait être une force, comme un boxeur à la Tyson, explosif et sans détour. Mais sans garde haute, sans conscience de l’impact de chaque frappe symbolique, ce style tourne à la caricature. Résultat : plus personne n’écoute vraiment, chacun reste dans son camp, et l’espace public devient une succession de crochets dans le vide. Le vrai mental de champion, que ce soit sur le ring ou derrière un micro, ce n’est pas de gagner tous les débats. C’est de rester aligné avec une éthique, même quand ça coûte une punchline.
Ce parallèle sert d’avertissement : si le champ médiatique continue à glorifier les attitudes de brawler incontrôlé, il finira comme un boxeur cramé à 30 ans, reflet de ce qu’il aurait pu être et qu’il a gâché. Et dans ce chaos, les seuls vrais perdants seront ceux qui cherchaient encore une info solide pour construire leur vie.
Blast, médias indépendants et round d’observation : qui tient vraiment la garde ?
Face à un journaliste installé comme Haziza, un média comme Blast, le souffle de l’info joue le rôle du challenger qui monte. Indépendant, financé par les citoyens, engagé contre la corruption, Blast revendique son refus des pressions économiques et politiques. Sur le papier, ça ressemble au club de boxe de quartier qui refuse les compromissions et les paillettes, misant tout sur le travail, la sueur, la progression honnête. Cette posture attire autant qu’elle dérange. Car quand on se pose comme rempart contre les dérives du système, chaque faux pas devient une cible idéale pour ceux qui défendent l’ordre établi.
En s’attaquant à Haziza dans le cadre du Boxing Day #61, Blast a accepté d’entrer dans un combat qui dépasse le simple cas individuel. Il s’agit aussi d’interroger la manière dont les grandes rédactions fabriquent des figures, protègent certains profils, en ostracisent d’autres. On se retrouve alors avec une sorte de tableau des forces comparable à une carte des catégories de poids en boxe :
| Acteur | Forces principales | Faiblesses visibles |
|---|---|---|
| Frédéric Haziza | Visibilité, réseaux, accès aux plateaux, capacité à imposer des thèmes | Tonalité agressive, répétition des cibles, manque perçu de recul |
| Blast, média indépendant | Liberté éditoriale, soutien citoyen, enquêtes approfondies | Risque de militantisme perçu, ressources limitées, dépendance à la confiance du public |
| Public / citoyens | Diversité des points de vue, capacité à soutenir ou sanctionner | Fatigue informationnelle, exposition aux bulles algorithmiques |
Ce tableau montre une chose simple : personne n’a que des forces. Chacun arrive avec ses atouts, ses failles, ses angles morts. Le vrai enjeu, pour un média comme Blast, c’est de ne pas tomber dans le même piège que ceux qu’il dénonce. Quand on démonte les récits des autres, on doit être encore plus exigeant avec sa propre technique de frappe : vérification des faits, précision des citations, contextualisation des gestes et des phrases. C’est l’équivalent d’un coach qui rappelle sans cesse : « Garde haute, souffle, ne te jette pas. »
Pour le public qui regarde ce combat, la tentation est forte de choisir son camp comme on choisit un boxeur préféré. Mais ce n’est pas un match truqué par des promoteurs ; c’est notre espace d’information. La bonne attitude, c’est de se mettre en position d’observateur actif. On regarde qui respecte le jeu, qui argumente, qui corrige quand il se trompe. On surveille aussi qui frappe dans le dos, qui fuit les questions, qui se cache derrière des procédures judiciaires pour éviter la contradiction. Cette grille de lecture empruntée au lifestyle boxeur permet de traverser la tempête sans finir KO mentalement.
Ce round d’observation est crucial. Il rappelle que la liberté de la presse n’est pas un privilège pour journalistes, mais un outil pour toute la société. Quand un média indépendant révèle des affaires de corruption, il prend des risques, comme un boxeur qui accepte un adversaire plus fort pour progresser. Quand un journaliste installé utilise ses réseaux pour étouffer la critique, il trahit l’esprit du sport. À toi de voir, à chaque fois, qui se comporte comme un vrai fighter, et qui se contente de faire du bruit.
La conclusion de ce round, c’est un mantra simple : peu importe le camp, ce qui compte, c’est la rigueur. Un média qui se dit citoyen et anti-corruption, s’il dérape, doit être critiqué. Un journaliste qui dénonce l’antisémitisme, s’il franchit la ligne rouge du lynchage, doit être recadré. Tout le monde sous la même lumière, tout le monde prêt à rendre des comptes. C’est ça, le véritable esprit du ring.
Transformer ce chaos médiatique en carburant : mindset, discipline et action
Reste la question la plus importante : qu’est-ce que tu fais, toi, avec tout ça ? Parce que regarder Haziza s’écharper avec Blast ou avec LFI, c’est du spectacle, mais ça ne change pas ta condition physique, ton mental, ton quotidien. L’idée de cette lettre, et plus largement de l’approche d’Uppercut Training Club, c’est de transformer ce chaos médiatique en carburant pour ton propre mindset sportif. Pas besoin d’être journaliste ou député pour appliquer les leçons du ring à ta vie.
Le premier réflexe à adopter, c’est la discipline. Dans ta pratique de la boxe débutant ou confirmée, tu sais que les progrès viennent des sessions où tu n’avais pas envie, mais où tu es quand même allé en salle. Pour ton rapport à l’information, c’est pareil. Au lieu de te contenter d’un tweet viral ou d’un titre outrancier, prends le temps de lire, de croiser les sources, de regarder qui parle, pour qui il parle, et ce qu’il a à gagner à frapper aussi fort. Ce n’est pas glamour, c’est du grind, mais c’est ce qui te rend solide, difficile à manipuler.
Ensuite, travaille ta capacité d’encaissement mental. Pas encaisser les insultes gratuitement, mais accepter que le monde est complexe, que personne n’est tout blanc ou tout noir. Tu peux reconnaître qu’un journaliste a raison sur un point et tort sur un autre, qu’un média indépendant fait un super boulot sur une enquête et se plante parfois sur un angle. Ce refus du manichéisme, c’est ta vraie garde haute. Sans ça, tu deviendras le jouet de ceux qui vivent de la polarisation.
Enfin, passe à l’action concrète. Pas besoin de monter un média pour avoir un impact. Tu peux :
- Soutenir les contenus qui t’aident vraiment à progresser, par un partage, un commentaire, un abonnement.
- Refuser de relayer des contenus qui ne sont que de la haine pure, même s’ils flattent ton camp.
- Appliquer à ton entraînement les leçons de rigueur vues ici : planifier tes séances, suivre ta nutrition du fighter, améliorer ton cardio boxe, dormir suffisamment.
- Utiliser la culture boxe comme repère : qui, dans l’espace public, se comporte comme un vrai fighter, et qui joue le rôle du clown agressif ?
- Te fixer des objectifs simples : trois séances par semaine, un combat à regarder en analysant la stratégie, un article à lire en profondeur au lieu de scroller.
C’est là que ce genre de polémique peut devenir utile. Si tu restes spectateur passif, tu ajoutes juste du bruit au bruit. Si tu en profites pour affûter ton regard, renforcer ta motivation sport, et incarner un peu plus la discipline du ring dans ta vie, alors tu sors gagnant. Les Haziza, les Boxing Day, les médias indépendants, tout ça devient un décor dans lequel tu apprends à naviguer en boxeur expérimenté : lucide, respectueux, mais impossible à intimider.
Au final, ce qui compte, ce n’est pas de savoir qui aura le dernier mot dans ces guerres médiatiques. Ce qui compte, c’est de savoir qui, demain matin, enfilera ses gants, ira courir, travaillera ses crochets, et continuera de bâtir un mental capable d’encaisser la vraie vie. Le reste, ce ne sont que des rounds de bruit. Toi, concentre-toi sur ton propre combat. Monte sur le ring.
Pourquoi parler de Frédéric Haziza sur un média orienté boxe et mindset ?
Parce que sa manière d’occuper l’espace médiatique ressemble à un combat sans garde : coups répétés sur les mêmes cibles, montée de la tension, confusion entre débat et règlement de comptes. En utilisant le prisme du mental de boxeur, on peut analyser ces dérives, comprendre leurs effets et en tirer des leçons utiles pour son propre mindset, dans le sport comme dans la vie.
Quel lien entre Boxing Day #61 et la pratique de la boxe au quotidien ?
Le Boxing Day #61 sert de cas d’école sur la façon de gérer un affrontement : choix des cibles, précision des frappes, respect ou non de l’adversaire. En observant ces mécanismes, tu peux affiner ta manière d’aborder tes propres combats, sportifs ou personnels : garder ton calme, respecter un cadre, accepter la critique et t’en servir pour progresser.
Comment développer un vrai mental de boxeur face au bruit médiatique ?
En adoptant les mêmes principes qu’à l’entraînement : discipline (ne pas réagir à chaud à tout), rigueur (vérifier les infos comme tu répètes un combo), humilité (accepter de changer d’avis), et constance (entretenir ton physique et ton mental chaque semaine). Plus tu construis ce socle, moins tu deviens manipulable par les polémiques successives.
Les médias indépendants comme Blast sont-ils automatiquement plus fiables ?
Non. Ils sont plus libres de certaines pressions économiques ou politiques, ce qui est un vrai atout, mais ils restent composés d’humains, avec leurs biais et leurs angles morts. L’attitude la plus saine, c’est d’utiliser leur travail comme une pièce du puzzle, à croiser avec d’autres sources. Comme en sparring, tu apprends de chaque partenaire, sans en idolâtrer aucun.
Comment relier mon entraînement boxe et ma consommation d’information ?
En utilisant la même grille : objectif, plan et retour d’expérience. Fixe-toi un temps limité pour suivre l’actualité, choisis quelques sources variées, puis prends le temps d’en discuter de façon posée, comme tu débriefes un sparring. Et surtout, ne laisse jamais le flot d’infos grignoter ton temps d’entraînement, de récupération ou de nutrition du fighter : ton premier ring, c’est ta propre vie.
Source: www.blast-info.fr


