Nassim Nouri sacré champion de boxe : la fierté du Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos et de Nouvelle-Aquitaine

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La scène est classique mais elle fait toujours quelque chose : un jeune qui lève les bras, le regard encore plein d’adrénaline, pendant que l’arbitre lui serre le poignet. Sauf que là, ce n’est pas n’importe quel sacre. Nassim Nouri, 19 ans, vient d’arracher le titre de champion de Nouvelle-Aquitaine chez les élites amateurs en +55 kg, la catégorie qui ouvre la porte vers le monde pro. Formé entre Cahors et le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos, il devient d’un coup la vitrine d’un club déjà réputé pour sa formation solide, son exigence et son ambiance de vraie salle. Ce sacre, c’est autant la victoire d’un boxeur que le symbole du travail d’une équipe entière : coaches, partenaires de sparring, bénévoles, tout un coin du Lot-et-Garonne qui vit au rythme des gants.

Ça fait des années que le club fumélois aligne les bons résultats sur les rings régionaux, nationaux et même internationaux. Mais avec Nassim, Vahé Nersisyan, Dylan Hourchmi, Hugo Machado Juignet et l’arrivée prochaine de Rayan Hachicha chez les pros, on n’est plus seulement sur une belle dynamique : on parle d’un vrai pôle de boxe anglaise qui fait du bruit bien au-delà du département. Pendant que beaucoup se contentent de “faire du sport”, là-bas on parle entraînement boxe, discipline, sueur, mental de boxeur, et billets pour les championnats de France à Paris. Et si tu cherches un exemple concret de ce que la boxe peut faire pour un jeune motivé, le parcours de Nassim Nouri est exactement le genre d’histoire qui te pousse à remettre les bandages et à retourner sur le ring.

En bref :

  • Nassim Nouri, 19 ans, sacrĂ© champion de Nouvelle-Aquitaine en Ă©lite amateur +55 kg après une victoire aux points Ă  GuĂ©ret.
  • FormĂ© d’abord au club de Cahors, il rejoint le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos en quĂŞte de progression et de vrai grind.
  • Il s’entraĂ®ne avec un groupe solide, aux cĂ´tĂ©s de VahĂ© Nersisyan (vainqueur de la Coupe d’Aquitaine), Dylan Hourchmi et Hugo Machado Juignet.
  • Le club affiche plus de 80 licenciĂ©s et une rĂ©putation nationale pour sa formation, son sĂ©rieux et son Ă©tat d’esprit.
  • Nassim est qualifiĂ© pour les championnats de France Ă  Paris, antichambre de la boxe professionnelle.
  • Autre fiertĂ© du club : Rayan Hachicha, formĂ© Ă  Fumel, passera pro en janvier 2026.
  • Le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos organise aussi des Ă©vĂ©nements majeurs comme le championnat dĂ©partemental de boxe Ă©ducative, ancrĂ© dans la transmission.

Nassim Nouri, nouveau champion de Nouvelle-Aquitaine : un combat qui change une carrière

Tout le monde voit la photo du champion, mais peu voient ce qu’il y a derrière. Pour Nassim Nouri, le titre de champion de Nouvelle-Aquitaine ne tombe pas du ciel. Il a commencé la boxe en août 2022, à Cahors, comme beaucoup de débutants : un peu de curiosité, de la rage à canaliser, l’envie de se découvrir. Moins de trois ans après ses premiers pas sur le ring, il se retrouve en finale régionale élite, à Guéret, en +55 kg, face à un boxeur plus âgé, plus expérimenté, plus “rodé” sur le papier. C’est le genre de situation où tu vois si le mental suit le physique.

En face, Clément Bossuet du CAM Bordeaux, 25 ans, environ 20 combats au compteur, un style connu sur YouTube et une boxe compact, agressive, qui vient coller l’adversaire. Nassim, lui, arrive avec “seulement” 14 combats. Dans les faits, ça change tout : le rythme, la gestion émotionnelle, les petits réflexes de survie que tu n’apprends que sur le ring. Pourtant, ce soir-là, ce n’est pas l’expérience qui fait la différence, c’est la préparation, la lucidité et le sang-froid.

Avec ses coaches, Tahar Houaoura et Mouss, le travail a été clair : analyser le style de Bossuet, anticiper sa façon de combattre, construire un game plan précis. L’adversaire est plus petit, aime boxer en pression, se coller, casser la distance et pourrir le combat à l’intérieur. Ce genre de profil, si tu ne le prépares pas, il te bouffe round après round. Alors Nassim et son staff ont bossé sur les techniques de boxe adaptées : gestion de distance, travail du jab, déplacements latéraux, clinch intelligent, contre-attaques sèches au bon moment.

Le résultat ? Une victoire aux points, propre, construite, où Nassim ne se contente pas de survivre, mais impose son rythme. Face à un boxeur réputé, qui publie du contenu et attire les regards, il reste concentré sur le concret : le centre du ring, la garde haute, les enchaînements efficaces. C’est le genre de combat qui te fait passer un palier dans ta tête : tu te dis “ok, je suis à ma place à ce niveau”. Et c’est souvent là que la carrière bascule.

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Ce titre en Nouvelle-Aquitaine n’est pas juste une médaille de plus accrochée dans un gymnase. C’est le ticket pour les championnats de France élite à Paris. Ça veut dire changement d’ambiance, un autre niveau de pression, la crème des amateurs français réunie sur quelques jours. Nassim va devoir gérer le voyage, la coupe de poids, l’environnement, les regards, tout en restant focus sur son boxe. C’est dans ces cadres-là qu’on voit qui a vraiment un mental de boxeur et qui voulait juste briller sur une photo.

Ce combat de Guéret résume bien une vérité simple : le talent te donne une base, mais la préparation fait la différence. Entre l’étude vidéo de l’adversaire, les rounds de sparring ciblés en salle, les séances de cardio boxe pour tenir la cadence, rien n’a été laissé au hasard. Quand l’arbitre lève la main, ce n’est pas “la chance”, c’est la facture payée en heures de sueur sur le ring d’entraînement.

Ce soir-là, à Guéret, un titre a été gagné, mais surtout un statut : celui d’un jeune qui ne vient pas pour tester le terrain, mais pour marquer la catégorie. Cette finale a transformé un espoir prometteur en référence régionale qu’il va falloir aller chercher.

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Du premier gant à la ceinture régionale : le parcours express de Nassim et sa progression en boxe anglaise

Pour comprendre pourquoi le titre de Nassim cogne aussi fort, il faut regarder la vitesse à laquelle il a progressé. Début 2022

Très vite, la compétition arrive. Mais à ce niveau, on ne parle pas de gros titres, juste des premiers combats amateurs, souvent devant peu de monde, dans des petites salles où le speaker prononce ton nom en hésitant. C’est là que tu apprends ton vrai mindset sportif. Tu peux paniquer, te crisper, te vider ton énergie en un round. Ou décider de revenir, encore et encore, jusqu’à ce que le ring devienne un endroit familier.

Le tournant arrive quand Nassim décide de rejoindre le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos. Il suit un ami, Vahé Nersisyan, lui aussi en pleine ascension après sa victoire en Coupe d’Aquitaine. Ce n’est pas juste un déménagement de salle, c’est un changement de cadre mental. À Fumel, la barre est haute. Les coachs parlent de préparation physique sérieuse, d’objectifs clairs, de cycles de travail. Les sparrings sont disputés, mais contrôlés. On pousse, on saigne un peu, mais toujours dans le respect.

Le club compte plus de 80 licenciés. Ce chiffre dit quelque chose : l’ambiance attire, la réputation fait le reste. Quand des boxeurs d’autres villes choisissent de venir là pour “progresser”, ce n’est jamais un hasard. On vient chercher une structure, un cadre, un lifestyle boxeur où tu t’organises autour de l’entraînement : sommeil, nutrition du fighter, temps de récup, tout est ajusté. Nassim s’inscrit dans ce système, avec un objectif simple : monter de niveau le plus vite possible, mais correctement.

Son évolution se construit sur plusieurs piliers :

  • RĂ©pĂ©tition quotidienne des fondamentaux : jab, direct arrière, crochets, travail au sac lourd, corde Ă  sauter.
  • Cardio boxe ciblĂ© : intervalles courts et intenses, travail en fractionnĂ© pour coller au rythme des rounds.
  • Sparring intelligent : rounds contrĂ´lĂ©s avec des partenaires de profils diffĂ©rents pour Ă©largir sa palette.
  • Mindset de compĂ©titeur : visualisation des combats, acceptation du stress, gestion de la peur de perdre.
  • Hygiène de vie : alimentation cadrĂ©e, peu de sorties, sommeil rĂ©gulier avant les grosses Ă©chĂ©ances.

En moins de trois ans, ce mix fait passer Nassim du stade de boxe débutant à celui de champion régional élite. Ce n’est pas magique, c’est carré. Chaque combat, chaque sparring, chaque entraînement a été digéré, analysé, corrigé. À Fumel, on ne se contente pas de “faire des rounds”. On parle de ce qui marche, de ce qui bloque, on corrige les appuis, les angles, la gestion du ring. Et quand tombera le match à Guéret, tout ce travail silencieux se voit d’un coup.

Ce parcours éclair en boxe anglaise pose un message net pour tous ceux qui s’y mettent tard ou pensent qu’il est “trop tard” : avec un bon club, un vrai engagement et un mental prêt à encaisser, tu peux transformer rapidement ton niveau. La clé, c’est d’arrêter de rêver les combats et de monter sur le ring, encore et encore, jusqu’à ce que ton style prenne forme.

Ce type de contenu vidéo permet de voir concrètement comment bosse un boxeur qui monte, et d’analyser son attitude à l’entraînement autant que sa technique de frappe.

Le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos : une fabrique de champions et de mental de fighters

Derrière chaque ceinture, il y a une salle. Et le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos ne joue pas les figurants. Cette association installée à Saint-Vite a un objectif simple : la pratique de la boxe, de l’éducation physique et des sports, avec un vrai accent sur la transmission. Ce n’est pas une salle “poseuse” où on vient juste poster des stories. Ici, on parle d’heures passées à bosser au sac, de gamins qui apprennent les bases de la boxe éducative, d’adultes qui reprennent goût au sport via la boxe anglaise, et d’élites qui visent clairement les titres.

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Le club a déjà vu passer des boxeurs au plus haut niveau. Des noms comme Saïd Skouma restent dans les mémoires locales, preuve que cet endroit sait former sur le long terme. Aujourd’hui, la nouvelle vague est bien en place : Nassim Nouri, Vahé Nersisyan, Dylan Hourchmi, Hugo Machado Juignet, sans oublier Rayan Hachicha qui va basculer chez les pros en janvier 2026. Quand une seule salle envoie autant de fighters sur les rings régionaux, nationaux et bientôt pros, on ne parle plus d’un hasard, mais d’une vraie école de boxe.

Le fonctionnement est simple et dur à la fois : des séances régulières, une exigence constante et un respect total du mental de boxeur. Les coachs, dont Tahar Houaoura, sont présents sur tout : technique, attitude, discipline. Ils ne sont pas là pour flatter les ego, mais pour faire progresser. Quand un boxeur craque mentalement, ils recadrent. Quand quelqu’un veut brûler les étapes, ils rappellent la base : rien ne remplace la répétition et le temps passé sur le ring.

Le club s’appuie aussi sur un vrai esprit de famille. Dans la même soirée, tu peux voir un petit de 10 ans en boxe éducative, une boxeuse en préparation de combat régional et un élite se préparer pour les championnats de France. Chacun a sa place, chacun prend exemple sur l’autre. Le plus jeune regarde les plus grands avec des étoiles dans les yeux. Les confirmés se rappellent d’où ils viennent. Cette circulation de l’énergie, c’est une arme énorme pour construire du mindset combat sur le long terme.

Au fil des années, le club a aussi développé sa visibilité avec des galas. Le gala annuel de Fumel, organisé au gymnase André Macard, réunit une foule nombreuse. On y voit des combats disputés, des boxeurs locaux et invités, des ceintures en jeu, mais aussi des moments forts comme la remise d’une médaille à Tahar Houaoura pour son dévouement. Ce genre d’événement renforce le lien entre la salle et le territoire : la boxe devient un repère, un lieu où les gens se retrouvent, encouragent, vibrent.

Pour visualiser ce que représente aujourd’hui le club, on peut résumer quelques éléments clés :

Élément Donnée clé Impact sur le club
Nombre de licenciés + de 80 Preuve d’attractivité et de dynamisme local
Boxeurs en lice aux championnats de France Nassim, Vahé, Dylan, Hugo Visibilité nationale, crédibilité sportive renforcée
Boxeur formé au club passant pro Rayan Hachicha (janvier 2026) Pont concret entre amateur et professionnel
Organisation d’événements Gala annuel, championnat départemental éducatif Animation locale, recrutement, culture boxe

Le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos n’est donc pas seulement le décor de la réussite de Nassim. C’est une véritable machine à forger des caractères, où chaque sacre individuel renforce la légende collective. Celui qui franchit la porte de cette salle ne vient pas seulement apprendre à frapper, il apprend à tenir, à respecter, à recommencer.

Ces galas montrent comment un club peut transformer un simple événement sportif en rendez-vous majeur pour toute une communauté, et donner aux jeunes une scène pour s’exprimer.

Championnats de France à Paris : pression, stratégie et mental de boxeur au plus haut niveau

Après le titre de champion de Nouvelle-Aquitaine, place à l’étape suivante : les championnats de France élite à Paris. Là, on change de dimension. Finies les salles moyennes où tout le monde se connaît. Tu rentres dans un environnement où chaque combat peut te propulser, où chaque erreur se paie cash. Pour un jeune de 19 ans, ce n’est pas juste une compète de plus, c’est un test grandeur nature de son mental de boxeur.

Les enjeux sont multiples. D’abord, la gestion de la pression. Paris, c’est plus de public, plus de médias, plus de regards. Tu te retrouves parfois face à des adversaires issus de structures très installées, avec de longues séries de combats derrière eux, des entraîneurs connus, des clubs qui ont l’habitude d’être là chaque année. Si tu montes sur le ring impressionné, tu es déjà en retard. La priorité de Nassim et de son staff sera donc simple : rester concentrés sur l’essentiel, round après round, sans se laisser happer par l’ambiance.

Ensuite, vient la stratégie. À ce niveau, tout le monde sait boxer. Ce qui fait la différence, c’est le plan de match, la capacité à s’adapter et à garder la tête froide. Un championnat de France, ce n’est pas un one shot. Tu dois enchaîner plusieurs combats dans un laps de temps court, avec parfois des styles complètement différents : un grand technicien un jour, un bourrin agressif le lendemain. D’où l’importance d’un entraînement boxe varié en amont, avec du sparring contre des profils incompatibles, juste pour apprendre à t’ajuster.

Le cardio boxe joue aussi un rôle immense. Plus la compétition monte, plus le rythme des combats est élevé. Le stress bouffe de l’oxygène, la lumière, le bruit, le niveau d’intensité, tout ça fait que tu peux cramer plus vite que d’habitude. Un boxeur mal préparé explose après un round et demi. Un boxeur préparé peut accélérer quand les autres ralentissent. C’est souvent là que se joue la différence entre “bonne performance” et “titre national”.

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Autre point clé : l’équipe autour. Nassim ne va pas à Paris seul. Il est entouré par ses coachs, mais aussi par d’autres boxeurs du club – Vahé, Dylan, Hugo – qui, eux aussi, vont monter sur le ring. Cette dynamique collective, c’est une arme énorme. Tu ne vis pas la pression dans ton coin, tu la partages. Tu regardes un coéquipier se battre avant toi, tu te nourris de son énergie. Tu discutes des adversaires, des juges, des sensations. Ça transforme l’événement en mission de groupe, pas en croix individuelle.

Enfin, un championnat comme celui-là, c’est un révélateur pour le mindset sportif. Tu peux tomber sur plus fort. Tu peux perdre sur un détail, une décision serrée, une erreur de concentration. Ce qui compte, c’est ce que tu fais derrière : est-ce que tu t’effondres ou est-ce que tu utilises cette expérience pour préparer la suite ? Pour un jeune comme Nassim, ces jours à Paris peuvent servir de fondation à une future carrière pro, même sans ceinture nationale tout de suite.

Ce rendez-vous dans la capitale n’est pas seulement une destination, c’est un miroir. Il va renvoyer à Nassim la vérité sur son niveau actuel, sa gestion de la pression, sa discipline, sa motivation sport réelle. Et quoi qu’il arrive, une chose est sûre : quand tu as déjà gagné une région comme la Nouvelle-Aquitaine, que tu as un club solide dans ton dos et un staff qui connaît la route, tu ne viens pas pour faire de la figuration. Tu viens pour tester ta limite, et la repousser.

De Fumel à l’élite : ce que l’histoire de Nassim Nouri apprend à tous ceux qui veulent vivre la boxe à fond

L’histoire de Nassim Nouri dépasse largement son titre régional. Elle sert de rappel brut : la boxe n’est pas réservée à une élite née avec des gants. Il a commencé en 2022, dans un club de province, sans projecteurs. En quelques saisons, avec un travail acharné et un environnement exigeant comme celui du Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos, il se retrouve champion de Nouvelle-Aquitaine et qualifié pour les championnats de France. Si tu cherches un modèle concret de progression, tu l’as sous les yeux.

Cette trajectoire donne trois enseignements clairs :

  • L’environnement compte autant que le talent : rejoindre un club structurĂ©, avec des coachs impliquĂ©s et des partenaires solides, change tout.
  • La discipline, c’est ton vrai super-pouvoir : venir mĂŞme quand t’as pas envie, respecter la prĂ©paration, soigner ta rĂ©cupĂ©ration.
  • Tu dois accepter la douleur du progrès : les dĂ©faites en sparring, la fatigue, les doutes font partie du process.

Le club, lui, montre ce que peut devenir une salle quand elle mise sur la formation plutôt que sur le buzz. Avec plus de 80 licenciés, une présence régulière sur les rings, l’accueil de championnats départementaux et un boxeur qui passe pro comme Rayan Hachicha, Fumel-Monsempron-Libos prouve qu’un coin de Nouvelle-Aquitaine peut peser dans le noble art. C’est un message fort pour toutes les petites villes : avec de la passion, de la rigueur et du temps, tu peux créer un vrai hub de boxe anglaise.

Pour toi qui lis, la question est simple : qu’est-ce que tu en fais ? Tu peux te contenter de regarder les autres évoluer, scroller des highlights sur ton téléphone, te dire que “c’est beau, quand même”. Ou tu peux décider de prendre cette histoire comme un signal. Mettre des gants. Chercher une salle. Reprendre l’entraînement. Te fixer un objectif concret : un premier combat amateur, un retour en forme, une perte de poids avec un vrai cadre de préparation physique, peu importe. L’essentiel, c’est d’arrêter d’être spectateur.

Parce qu’au fond, le message que balance Nassim avec ce titre est limpide : tout le monde veut gagner, mais peu acceptent de bosser dans l’ombre. Lui a choisi son camp. Le club aussi. La suite de l’histoire va se jouer sur les rings de France, puis peut-être plus loin. Mais dès maintenant, ce parcours pose une base pour tous les fighters en devenir : peu importe d’où tu pars, si tu te pointes à la salle, que tu transpires, que tu encaisses, que tu refuses d’abandonner, tôt ou tard, tu vas créer ta propre victoire.

Au final, que tu viennes de Fumel, de Paris ou d’un autre coin, la leçon reste la même : monte sur le ring. C’est là, et seulement là, que les belles histoires de boxe commencent vraiment.

Qui est Nassim Nouri et quel titre a-t-il remporté ?

Nassim Nouri est un jeune boxeur de 19 ans, licencié au Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos. Il a commencé la boxe en 2022 et vient de remporter le titre de champion de Nouvelle-Aquitaine en élite amateur, dans la catégorie des +55 kg. Cette victoire lui ouvre les portes des championnats de France à Paris.

Pourquoi le Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos est-il autant cité comme référence ?

Le club de Fumel-Monsempron-Libos est reconnu pour la qualité de sa formation, son sérieux et son ambiance de travail. Il compte plus de 80 licenciés, aligne plusieurs boxeurs en championnats de France, organise des galas et championnats départementaux, et a formé des combattants qui évoluent maintenant chez les professionnels, comme Rayan Hachicha.

Comment se préparer comme un boxeur pour un championnat régional ou national ?

La préparation repose sur plusieurs piliers : un entraînement régulier en boxe anglaise, du sparring varié, un gros travail de cardio spécifique, une bonne hygiène de vie (sommeil et nutrition du fighter), et un mental solide. Travailler avec des coachs expérimentés, analyser ses adversaires et respecter la discipline sur la durée sont des éléments clés pour performer en compétition.

Est-il possible de progresser rapidement en boxe quand on débute tard ?

Oui, à condition d’être régulier et sérieux. L’exemple de Nassim Nouri montre qu’en quelques années, avec un bon encadrement et un investissement total, on peut passer de débutant à champion régional. L’important est de choisir un club structuré, de venir s’entraîner plusieurs fois par semaine et d’accepter la courbe d’apprentissage sans chercher les raccourcis.

La boxe au Boxing-Club Fumel-Monsempron-Libos est-elle réservée aux compétiteurs ?

Non. Si le club forme des compétiteurs de haut niveau, il accueille aussi des pratiquants de boxe éducative, des adultes qui veulent se remettre en forme et des passionnés qui cherchent un cadre sérieux. Chacun peut y trouver sa place : du débutant curieux au boxeur confirmé en quête de résultats en compétition.

Source: www.ladepeche.fr

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