Boxe : Samuel Kistohurry, le stratège expérimenté, face à la fougue de Mayson Creygolles pour défendre son titre

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Quand un stratège expérimenté croise la route d’un jeune loup affamé, la boxe rappelle pourquoi on l’appelle la noble art. À Pessac, dans la salle Bellegrave, Samuel Kistohurry, poids plume girondin, remet sa ceinture de champion de France pro en jeu face à Mayson Creygolles, 25 ans, invaincu, sept victoires et un nul. D’un côté, un boxeur olympique, plus de 140 combats au compteur, une science du ring aiguisée et une vision claire : défendre son titre pour ouvrir la voie vers un futur titre européen. De l’autre, un jeune fighter venu de Carcassonne, bras en feu, gros mental, soutenu par des bus entiers de supporters prêts à faire du bruit.

Ce duel, ce n’est pas juste un combat de plus sur une affiche. C’est un choc de générations, deux façons d’aborder la boxe anglaise qui se téléscopent : l’intelligence froide d’un homme qui a appris à gérer la distance, le cardio, les temps forts, face à l’énergie brute d’un boxeur encore en montée, qui veut prouver qu’il a sa place parmi les grands. Sur le ring de Bellegrave, l’enjeu dépasse la ceinture : il touche au mental de boxeur, à la discipline quotidienne, à tout ce qu’on ne voit pas sur les highlights mais qui fait gagner les guerres de dix rounds.

En bref :

  • Un titre national en jeu : Samuel Kistohurry dĂ©fend sa ceinture de champion de France pro des poids plumes Ă  Pessac.
  • Un choc d’univers : expĂ©rience olympique et 140 combats pour Samuel, jeunesse invaincue et fougue pour Mayson Creygolles.
  • Objectif europĂ©en : une victoire claire pourrait ouvrir la porte Ă  un titre europĂ©en dès 2026.
  • Ambiance annoncĂ©e brĂ»lante : Bellegrave pleine, plusieurs bus de supporters venus de Carcassonne pour pousser Mayson.
  • Leçon de mindset : gestion de la pression, cardio boxe, stratĂ©gie, tout ce qui construit un vrai mindset sportif sera mis Ă  nu.

Boxe : un champion de France pro en mission, Samuel Kistohurry et son plan de jeu

Quand un champion remet son titre en jeu chez lui, la pression ne baisse pas, elle double. Samuel Kistohurry monte sur le ring de Bellegrave avec une seule idée en tête : prouver que sa ceinture n’est pas un accident, mais la conséquence logique d’années de grind, de préparation physique et de discipline. La dernière fois qu’il a boxé là pour un titre, il a dominé un adversaire solide, Thibaut Sergent, sur la distance. Dix reprises gérées avec sang-froid, un cardio propre, un mental verrouillé jusqu’à la dernière seconde.

Ce soir-là, beaucoup ont compris que ce n’était pas juste un bon boxeur, mais un stratège

Sur ce nouveau combat, la mission est claire : défendre le titre pro des plumes et envoyer un message fort aux organisateurs européens. Dans son coin, tout le monde le sait : une victoire nette peut déboucher sur quelque chose de plus gros, un titre continental dans les mois à venir. Ce genre de marche, ça se prépare dans l’ombre : footing au petit matin, drills techniques répétés jusqu’à l’usure, sparring ciblé, nutrition réglée au millimètre. Le lifestyle boxeur, ce n’est pas glamour, c’est des choix au quotidien, entre confort et objectif.

Son entourage insiste sur un point : à 30 ans, avec une carrière riche en combats amateurs et olympiques, il a le vécu. Il a connu les voyages, les pesées tendues, les vestiaires glacials avant de monter sous les projecteurs. Il sait ce que ça fait de gérer un tournoi international avec plusieurs combats en peu de jours. Tout ça forge un mental de boxeur que les highlights ne montrent pas. Quand il entre sous la lumière, derrière la cagoule ou la musique d’entrée, il ramène avec lui chaque matin où il a couru sous la pluie, chaque round où il a dû serrer les dents.

Ce combat à Pessac ne tombe pas de nulle part. Il s’inscrit dans une dynamique : continuer le parcours pro tout en gardant un pied dans la boxe olympique. Il n’a pas tourné la page des grandes compétitions internationales. Au contraire, il montre qu’on peut mener deux fronts quand on a la tête froide, une équipe solide et un plan clair. C’est un message fort pour tous ceux qui croient qu’il faut choisir trop tôt : la boxe, c’est d’abord une question de cohérence entre ce que tu veux et ce que tu es prêt à sacrifier.

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Pour tous ceux qui suivent ce combat, la vraie leçon est là : un titre, ça ne se défend pas avec des déclarations, mais avec du rythme, de la gestion, de la lucidité. Et si Samuel réussit, ce ne sera pas à cause d’un “talent” mystique, mais parce que son plan de jeu aura été plus solide que la tempête d’en face.

découvrez le duel captivant entre samuel kistohurry, stratège expérimenté, et mayson creygolles, jeune talent fougueux, dans un combat intense pour la défense du titre de boxe.

La fougue de Mayson Creygolles : jeunesse, invincibilité et mental affamé

En face, Mayson Creygolles ne vient pas jouer les sparrings de luxe. À 25 ans, invaincu chez les pros, avec sept victoires et un nul, il débarque de Carcassonne avec une étiquette claire : jeune chien fou, bras lourds, urgence de réussir. Là où Samuel arrive avec 140 combats dans les jambes, Mayson débarque avec l’énergie de celui qui n’a pas encore connu la défaite, qui ne doute pas de sa capacité à bousculer l’ordre établi.

Son entourage le décrit comme un boxeur avec du feu dans les bras. Ça veut dire quoi concrètement ? Ça veut dire qu’il aime engager, qu’il ne vient pas juste pour observer, qu’il cherche à casser le rythme, à imposer le sien, à pousser l’autre dans le rouge physiquement. Ce genre de profil, c’est un cauchemar si tu n’es pas prêt : pression constante, volume de coups, agressivité contrôlée, soutien sonore du public. Et à Bellegrave, il ne sera pas seul. Plusieurs bus de supporters ont fait le déplacement, prêts à transformer la salle en chaudron.

Quand un jeune invaincu arrive sur un ring avec des fans qui hurlent son nom, son mindset sportif peut exploser vers le haut. L’adrénaline devient une arme. Chaque échange gagné alimente la confiance, chaque coup propre déclenche une vague de cris qui peut faire douter le champion en face. Mais cette même fougue peut aussi se retourner contre lui si elle n’est pas canalisée. Trop de précipitation, et tu te retrouves à t’user pour rien, à consommer ton cardio boxe sur des attaques mal préparées.

C’est là que se joue une partie du combat : est-ce que Mayson saura canaliser sa hargne ? Sa jeunesse peut être un carburant monstrueux s’il la mélange avec un minimum de patience. Beaucoup de jeunes boxeurs se brûlent sur les titres nationaux parce qu’ils veulent trop prouver, trop vite. Ils pensent que mettre la pression suffit. Mais face à un stratège, il faut un second niveau : feintes, angles, variation des hauteurs, gestion du souffle. C’est ça qui transforme un prospect en vrai contender.

La route de Mayson jusqu’à Bellegrave montre déjà une certaine maturité. Rester invaincu, même sur huit combats, ça ne tombe pas du ciel. Il faut une discipline d’entraînement, une hygiène de vie qui colle à un vrai lifestyle boxeur : gants, sac, corde à sauter, muscu fonctionnelle, mais aussi sommeil, récupération, nutrition du fighter. Ceux qui pensent qu’à 25 ans on peut charbonner en soirée et cartonner sur le ring le week-end se trompent de film. À ce niveau, chaque détail compte.

Le plus dangereux chez ce type de profil, ce n’est pas seulement la fougue. C’est le mélange entre la croyance absolue qu’il peut gagner et l’absence de cicatrices mentales liées à la défaite. Quand tu n’as jamais été brisé en pro, tu montes sur le ring avec une liberté que même certains champions perdent avec le temps. Tu t’autorises des prises de risques, tu refuses l’idée même de reculer. Pour un boxeur comme Samuel, qui bâtit sur la lecture et la punition des erreurs, ce sera à la fois une opportunité et un vrai défi.

Une chose est sûre : si Mayson ose, si Mayson encaisse, si Mayson tient le rythme sur plusieurs rounds, ce combat peut se transformer en test ultime pour les deux. Et quel que soit le résultat, ce genre de soirée forge une carrière, dans un sens ou dans l’autre.

Pour mieux saisir ce qui attend Mayson, regarder les highlights de Samuel permet de comprendre le type de pièges qu’un jeune boxeur doit éviter face à un champion installé.

Stratégie, cardio boxe et gestion du temps : quand l’expérience affronte l’intensité

Un combat comme Kistohurry vs Creygolles, ce n’est pas une simple opposition de coups. C’est une guerre de timing, de souffle, de lucidité. Sur dix reprises, la différence ne se fait pas seulement à la puissance, mais à la capacité de rester clair dans sa tête quand les poumons brûlent. Là, Samuel part avec un avantage évident : il a déjà parcouru la distance, il connaît cette sensation d’entrer au huitième round avec les jambes lourdes et la nécessité de continuer à réfléchir.

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La préparation physique pour ce genre de combat, c’est du sérieux : rounds de sparring à rallonge, travail de sac avec fin de round en sprint, cardio boxe avec intervalles, footing fractionné. Le but est simple : repousser le moment où le cerveau ne suit plus. Un boxeur expérimenté sait que l’objectif n’est pas de ne pas être fatigué, mais de rester lucide fatigué. C’est là où l’expérience de 140 combats change tout : tu as déjà visité ces zones de douleur, tu sais que tu peux y survivre.

En face, Mayson arrive avec une intensité différente, souvent plus explosive. Les jeunes boxeurs ont tendance à démarrer très fort, imposer le chaos, forcer le champion à sortir de sa zone de confort. Sa stratégie peut ressembler à ça : pression dès le début, gros volume de coups, tenter de secouer Samuel avant qu’il ne trouve son rythme. Si ça marche, le combat peut pencher en sa faveur sur l’énergie et la surprise. Si ça échoue, il risque de payer cher cette dépense initiale.

Ce duel, c’est aussi une opposition dans la façon de gérer le tempo. Samuel est du genre à construire, à lire, à ajuster. Il laisse parler le jab, contrôle la distance, casse le rythme de l’autre par des déplacements, quelques contres précis, des accroches intelligentes quand il faut refroidir l’échange. Mayson, lui, va chercher à empêcher cette mise en place, raccourcir le ring, couper les angles, forcer les échanges de près, là où la puissance et la fougue peuvent compenser une partie du déficit d’expérience.

Pour un lecteur qui s’entraîne, ce combat raconte une leçon : ne néglige jamais ton cardio ni ta capacité à imposer ton rythme. Beaucoup de boxeurs amateurs bossent la technique de frappe, les combinaisons stylées devant le miroir, mais oublient la condition. Résultat : après deux rounds, tout s’écroule. Sur dix reprises, celui qui gagne est souvent celui qui continue à voir clair alors que les autres sont en brouillard.

Voici quelques axes concrets que ce combat met en lumière et que tu peux intégrer dans ton propre entraînement boxe :

  • Travail en blocs de rounds : enchaĂ®ner 3 Ă  4 rounds de sparring sans pause longue pour habituer ton corps Ă  “rester dedans”.
  • Cardio Ă  haute intensitĂ© : fractionnĂ©, sprints courts, escaliers, corde Ă  sauter avec changements de rythme.
  • RĂ©pĂ©tition des fins de round : finir chaque round d’entraĂ®nement avec 20 Ă  30 secondes Ă  fond pour simuler une poussĂ©e finale.
  • Gestion mentale de la fatigue : apprendre Ă  respirer, Ă  se parler dans la tĂŞte, Ă  ne pas paniquer quand le cĹ“ur s’emballe.

Ce qu’enseigne un combat comme celui-là, c’est que la stratégie ne flotte pas en l’air. Elle s’appuie sur ce que ton corps est capable de tenir. L’expérience sans jambes, ça craque. La fougue sans plan, ça s’éteint. Le vrai niveau, c’est quand les deux se rencontrent.

Regarder comment les pros construisent leur cardio boxe permet de comprendre que le mental se construit aussi par la répétition technique et physique, pas seulement par des phrases motivantes.

Mental de boxeur, discipline et lifestyle boxeur : ce que ce duel dit de la vraie vie des fighters

Au-delà des gants, ce combat pour le titre raconte une chose essentielle : la boxe, c’est une manière de vivre. Samuel comme Mayson ne montent pas sur le ring sortis de nulle part. Ils viennent de semaines de sacrifice. Ce que tu vois en 30 minutes de combat est la pointe visible d’un iceberg fait d’entraînements, de renoncements, de soirées calmes pendant que d’autres sortent, de repas pesés pendant que d’autres se lâchent.

Le lifestyle boxeur, c’est accepter que ton corps soit ton outil de travail. Tu dois le nourrir correctement, le reposer, le solliciter avec intelligence. La nutrition du fighter, ce n’est pas juste “manger sain”. C’est calibrer ton apport pour rester au poids sans être vidé. C’est boire assez pour encaisser la transpiration des séances doubles. C’est préparer ta veille de pesée pour ne pas arriver au combat avec les jambes coupées.

Dans une salle comme Bellegrave, on croise aussi d’autres exemples. Un gars comme Makan Traoré, qui a récemment gagné là un combat clé pour aller chercher un titre national chez les moins de 70 kg, montre la même logique : rigueur, répétition, capacité à supporter la pression. Ces trajectoires rappellent une vérité simple : on ne sépare pas le mindset de combattant du reste de ta vie. Si tu es désordonné en dehors, tu finis par le payer entre les cordes.

Ce duel entre un champion établi et un jeune invaincu peut servir de miroir à tous ceux qui s’entraînent, même en boxe débutant :

  1. La discipline bat l’excuse : que tu sois expérimenté ou pas, celui qui bosse quand il n’a pas envie finit toujours par dépasser le talent brut.
  2. Le mental se forge dans l’effort : tu ne deviens pas solide en lisant des citations, mais en finissant les rounds que tu voudrais fuir.
  3. Le lifestyle te rattrape : malbouffe, nuits courtes, manque de régularité finissent par se voir au bout des gants.
  Lettre Ă  CĂ©line Pina : RĂ©flexions et dĂ©bats du Boxing Day #59

Pour illustrer à quel point tout est connecté, regarde ce tableau :

Aspect Impact sur le ring Exemple concret
Sommeil régulier Meilleure récupération, réflexes plus nets Samuel qui tient 10 rounds sans baisser sa garde mentale
Nutrition maîtrisée Énergie stable, poids contrôlé Mayson capable de garder sa puissance jusqu’en fin de combat
Discipline d’entraînement Cardio solide, gestes automatiques Capacité à exécuter un jab propre même sous pression
Équilibre mental Gestion du stress, lucidité Rester calme malgré le bruit des supporters adverses

Un combat comme celui de Pessac rappelle que la motivation sport, c’est facile au début, quand tout est nouveau. Le vrai tri se fait après : qui continue à mettre les gants quand la hype est retombée ? Qui garde la même exigence une fois qu’il a une ceinture autour de la taille ? Dans le fond, ce duel, c’est ça : un champion qui veut prouver qu’il n’est pas rassasié, un jeune qui veut prouver qu’il mérite d’entrer dans la cour des grands. Et dans les deux cas, la clé s’appelle discipline.

Ce que les fighters peuvent apprendre de Kistohurry vs Creygolles pour leur propre entraînement boxe

Regarder un combat, c’est bien. Le décoder pour progresser soi-même, c’est mieux. Que tu sois débutant, amateur confirmé ou simple passionné, ce choc entre expérience et fougue peut devenir un vrai manuel vivant. La première chose à voler aux deux boxeurs, c’est leur rapport au temps. Aucun des deux n’est arrivé là par magie. Ils ont construit brique après brique : séance par séance, round par round, jour après jour.

Pour t’en inspirer, tu peux structurer ton propre entraînement autour de quelques piliers clairs :

  • Technique de base solide : jab, garde, dĂ©placements latĂ©raux. Sans ça, la fougue ne sert Ă  rien.
  • Cardio spĂ©cifique boxe : corde, shadow boxing intense, petits circuits fonctionnels avec gants.
  • Sparring intelligent : pas besoin de guerre Ă  chaque fois, mais des rounds pensĂ©s pour progresser.
  • Mindset concret : te fixer des objectifs simples (tenir un round de plus, encaisser sans paniquer, placer un jab propre Ă  chaque reprise).

La vraie leçon de ce genre de combat, c’est aussi l’acceptation de la difficulté. Tu vas galérer. Tu vas finir des séances vidé, avec l’envie de zapper la suivante. Mais c’est précisément là que se creuse l’écart entre ceux qui rêvent de monter sur un ring et ceux qui y montent vraiment. Le mental de boxeur, ce n’est pas d’être invincible. C’est d’accepter que la douleur fait partie du deal et d’avancer quand même.

Rappelle-toi cette équation simple :

Constante + discipline + lucidité > talent brut + ego.

Dans un combat comme Kistohurry vs Creygolles, cette formule va s’écrire en direct. Si la fougue de Mayson se marie avec un peu de patience, il peut créer la surprise. Si l’expérience de Samuel reste branchée à une vraie faim de victoire, il peut montrer ce que ça veut dire tenir son rang. Et toi, en regardant ça avec l’œil d’un fighter en progression, tu peux en sortir avec autre chose qu’un simple bon souvenir : des idées concrètes à ramener à la salle dès la prochaine séance.

Au final, ce genre de soirée pose une question directe : tu veux juste applaudir les autres, ou tu veux aussi tester tes limites, à ton niveau ? La réponse ne se donne pas dans les commentaires, mais sur le ring, les mains levées, le souffle court, et la tête plus forte qu’avant.

Qui est Samuel Kistohurry et quel est son palmarès principal ?

Samuel Kistohurry est un poids plume girondin, champion de France professionnel et boxeur olympique passé par les Jeux de Tokyo. Avec plus de 140 combats amateurs et pros, il est reconnu pour sa boxe complète, son intelligence tactique et sa capacité à gérer la distance sur dix rounds.

Pourquoi le combat contre Mayson Creygolles est-il important pour sa carrière ?

Ce combat est crucial car il s’agit d’une défense de titre à domicile, à Pessac. Une victoire claire contre un jeune invaincu comme Mayson Creygolles pourrait lui ouvrir la voie à un titre européen dès l’année suivante, tout en consolidant son statut de référence chez les poids plumes français.

Quel est le style de boxe de Mayson Creygolles ?

Mayson Creygolles est un jeune boxeur de 25 ans, invaincu avec sept victoires et un nul. Son style se caractérise par une grande fougue, une forte intensité, beaucoup d’engagement et du feu dans les bras. Il aime mettre la pression, accélérer le rythme et bousculer ses adversaires, porté par un mental affamé et un entourage très présent.

Que peut apprendre un boxeur débutant en observant ce combat ?

Un boxeur débutant peut y voir l’importance du cardio boxe, de la discipline et de la gestion du rythme. Il comprendra que la puissance seule ne suffit pas, que la stratégie fait la différence sur la durée, et que le lifestyle en dehors du ring (sommeil, nutrition, régularité) se reflète forcément entre les cordes.

Comment s’inspirer du mental de ces deux fighters pour sa propre vie ?

En observant leur détermination, leurs sacrifices et leur façon d’assumer la pression, chacun peut s’en servir comme modèle : se fixer un objectif clair, accepter la difficulté, construire une routine solide et ne pas lâcher quand la motivation retombe. Le mental de boxeur ne sert pas qu’en salle, il aide aussi à encaisser les coups de la vie et à repartir au combat.

Source: www.sudouest.fr

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