Toulouse : Combat 31, le club de boxe qui transforme la jeunesse autrement

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À Toulouse, au cœur du Mirail, il existe une salle où la boxe anglaise n’est pas juste une histoire de crochets et d’uppercuts. À Combat 31, les gants servent autant à apprendre à se défendre qu’à se tenir droit dans la vie. Là-bas, on ne parle pas de “faire du sport” mais d’éduquer par la boxe, de canaliser l’énergie des jeunes, de transformer la colère en discipline et la peur en confiance. Le club a démarré petit, avec très peu de moyens, mais une détermination énorme. Résultat : en quelques années, la salle est devenue une référence à Toulouse pour ceux qui cherchent un vrai mental de boxeur, loin du blabla, proche du terrain.

Combat 31, c’est le genre de club où les anciens boxeurs passent de l’autre côté des cordes pour encadrer les nouveaux. Les bénévoles gèrent tout : entraînements, événements, interventions dans les écoles, organisation de championnats amateurs. La salle ne court pas après les paillettes, mais après l’impact réel sur la jeunesse. L’objectif n’est pas d’aligner des titres mondiaux, mais de voir des gosses du quartier devenir des adultes solides, respectés et respectables. Là où d’autres structures se contentent de proposer un créneau d’entraînement boxe, Combat 31 pose un cadre, des règles, un esprit de famille. Et ça, pour un jeune qui cherche une place dans le monde, ça change tout.

En bref :

  • Combat 31 est un club de boxe emblĂ©matique du Mirail Ă  Toulouse, centrĂ© sur l’éducation et le mental plus que sur le palmarès.
  • FondĂ© autour de 2010 par Senouci Elbechir, il a explosĂ© après 2018 grâce Ă  un vrai projet associatif portĂ© par Abdala Tarfa et une Ă©quipe 100 % bĂ©nĂ©vole.
  • Le club propose plusieurs sections : boxe Ă©ducative, dĂ©couverte pour les plus jeunes, amateur/loisir, et une forte section fĂ©minine avec environ 70 pratiquantes.
  • Combat 31 intervient aussi dans les Ă©coles, collèges et fĂŞtes de quartier pour transmettre les valeurs de respect, d’engagement et de discipline.
  • Reconnu pour son sĂ©rieux, le club organise des championnats d’Occitanie amateurs et participe Ă  dynamiser la culture boxe dans la mĂ©tropole toulousaine.

Toulouse : Combat 31, un club de boxe du Mirail qui forge des caractères

Dans beaucoup de villes, un club de boxe anglaise est juste une adresse avec un ring, quelques sacs et un vestiaire qui sent le cuir. Au Mirail, Combat 31, c’est clairement autre chose. Cette salle s’est construite comme un repère pour les jeunes qui cherchent une direction, une structure, un endroit où on les regarde dans les yeux et où on leur dit : “Tu peux faire mieux, mais va falloir bosser.” Le quartier n’a pas toujours une belle réputation, mais entre ces murs, c’est simple : tout le monde repart avec plus de respect, de discipline et de contrôle de soi.

L’histoire commence autour de 2010, avec Senouci Elbechir, entraîneur de boxe dans une grosse association du coin. Il voit le potentiel, les gamins qui accrochent aux gants plutôt qu’aux mauvaises fréquentations, et il décide de monter une vraie structure dédiée à la boxe. Pas un truc clinquant, juste une salle sérieuse, tenue par des passionnés. Au début, les moyens sont ridicules : peu d’équipement, pas de gros budget pour la préparation physique, un local pas toujours adapté. Mais la qualité de l’encadrement est là, et les premiers jeunes accrochent.

Le vrai tournant arrive quand Abdala Tarfa, ancien boxeur du club, en prend la présidence vers 2018. Au lieu de rester dans le “on fait ce qu’on peut”, il réunît tout le monde et pose une vision claire : la boxe comme outil éducatif. Le but ? Former des personnes solides, pas des vedettes d’un soir. La phrase qui résume l’esprit du club : “On n’est pas là pour faire des champions du monde, on est là pour faire des gens respectés et respectables.” Ce n’est pas une punchline marketing, c’est la ligne de conduite.

Très vite, cet état d’esprit attire. Combat 31 grossit sans perdre son âme de salle de quartier. Les jeunes parlent du club entre eux, les parents commencent à repérer l’impact sur leurs enfants : moins de débordements, plus d’assiduité, un langage plus posé, une énergie mieux canalisée. Le club devient un lieu où tu peux débarquer avec ton stress, ta colère, tes doutes… et les laisser sur le sac de frappe.

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Pour les gars comme pour les filles, ce club devient un deuxième foyer. Dans les vestiaires, ça discute école, boulot, projets, pas seulement crochets au foie ou cardio boxe. Les encadrants, tous anciens boxeurs de la structure, connaissent la réalité du ring mais aussi celle du quartier. Ils savent qu’un gamin qui craque à l’école peut tenir sur le ring, et que cette force-là peut se transférer dans la vie de tous les jours.

  • Localisation : quartier du Mirail Ă  Toulouse, au cĹ“ur d’un secteur populaire.
  • Valeurs clĂ©s : humilitĂ©, respect, engagement, discipline quotidienne.
  • Public visĂ© : enfants, ados, adultes, dĂ©butants comme confirmĂ©s.
  • Encadrement : anciens boxeurs devenus bĂ©nĂ©voles, investis sur le long terme.
  • Ambition : changer des trajectoires de vie grâce Ă  la boxe, pas chasser la hype.

Pour résumer cette première dimension de Combat 31, voici un tableau clair :

Aspect Ce que propose Combat 31 Impact sur les jeunes
Ambiance Esprit de famille, respect mutuel, zéro star system Sentiment d’appartenance, loyauté, confiance
Encadrement Anciens boxeurs bénévoles, exigeants mais bienveillants Modèles réalistes, exemples concrets de progression
Objectifs Éduquer par la boxe, plus que gagner des titres Caractères plus stables, meilleure gestion des émotions
Localisation Salle implantée au Mirail, accessible au quartier Offre sportive structurante là où elle est le plus utile
Discours Direct, réaliste, sans promesses magiques Compréhension claire : progrès = travail + régularité

Combat 31 montre qu’un club de boxe de quartier peut devenir un vrai moteur social quand on assume une ligne : moins de show, plus de travail réel.

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Un projet associatif fort : la boxe comme outil d’éducation à Toulouse

Ce qui fait vraiment la différence à Combat 31, ce n’est pas juste la sueur sur les sacs, c’est le projet associatif qui tient tout. Après les premières années à survivre avec peu de moyens, le club a décidé de poser noir sur blanc ce qu’il voulait construire. L’équipe dirigeante s’est réunie, a analysé ses forces, ses limites, et a choisi un cap clair : utiliser la boxe éducative comme levier pour l’inclusion, la confiance en soi et la responsabilité.

Concrètement, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que chaque séance est pensée pour travailler le mental de boxeur autant que la technique. Les coachs ne se contentent pas de corriger une garde ou un jab, ils parlent ponctualité, engagement, respect des partenaires de sparring, capacité à écouter. La boxe devient un prétexte pour enseigner les choses que l’école ou la rue oublient parfois : tenir une promesse, accepter la frustration, apprendre à perdre sans exploser.

Le projet associatif de Combat 31 se traduit aussi par un vrai travail hors de la salle. Le club intervient dans les écoles et collèges, participe aux fêtes de quartier, répond aux sollicitations des parents. Quand un jeune décroche à l’école, quand le dialogue bloque à la maison, certains parents viennent frapper à la porte de la salle. Ils confient leur enfant en espérant que le cadre de la boxe fasse la différence. Souvent, ça marche parce qu’ici, les règles sont claires et non négociables.

Les axes forts du projet :

  • Transmission des valeurs : humilitĂ©, respect de l’adversaire, rigueur dans l’effort.
  • PrĂ©vention des dĂ©rives : canaliser l’agressivitĂ©, Ă©viter les mauvaises trajectoires de rue.
  • Ouverture sociale : mĂ©langer dĂ©butants, confirmĂ©s, filles, garçons, diffĂ©rentes origines.
  • Responsabilisation : encourager les anciens Ă  encadrer, aider, donner l’exemple.
  • PrĂ©sence sur le terrain : animations de quartier, interventions Ă©ducatives, Ă©vĂ©nements locaux.

Un exemple concret : un ado turbulent à l’école, impulsif, en conflit avec les profs. Au club, on lui pose trois règles simples : présence régulière, respect total dans la salle, zéro bagarre en dehors. S’il dérape, il est écarté des séances de sparring, là où il veut absolument aller. Rapidement, il comprend que pour monter sur le ring, il doit d’abord se tenir droit dans la vie. La boxe ne le “change” pas par magie, mais elle lui donne un miroir et des conséquences immédiates à ses actes.

Pour structurer cette démarche, Combat 31 a clarifié ses objectifs éducatifs :

Objectif éducatif Moyens utilisés Résultats observés
Canaliser l’énergie Entraînements intenses, drills de cardio boxe, travail au sac Moins d’agressivité hors salle, fatigue saine
Développer la discipline Présence obligatoire, règles strictes, progression par étapes Plus de régularité à l’école et dans la vie quotidienne
Renforcer la confiance Combats éducatifs, défis contrôlés, valorisation des efforts Prise de parole plus facile, meilleure posture sociale
Créer des modèles positifs Encadrement par d’anciens boxeurs du club Identification à des trajectoires réalistes et accessibles
Favoriser l’inclusion Groupes mixtes, participation aux événements du quartier Cohésion, respect entre jeunes de milieux différents

Cette approche place Combat 31 dans une autre catégorie que la simple salle d’entraînement boxe. On est sur un vrai projet d’utilité publique, où chaque round sert à construire un peu plus le caractère des jeunes.

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Ce projet associatif solide donne aussi au club une vraie crédibilité auprès des institutions et des organisateurs de compétitions, ce qui permet de franchir un cap sur la scène régionale.

Sections boxe éducative, féminine et loisirs : une offre complète pour tous les niveaux

Un club qui transforme la jeunesse, c’est bien. Mais pour que ça tienne dans le temps, il faut une offre claire et adaptée à chaque âge, chaque profil. C’est là que Combat 31 se distingue avec plusieurs sections de boxe bien structurées, chacune avec sa logique, ses exigences et ses objectifs. Que tu sois un petit de 4 ans qui découvre les gants ou une adulte qui veut se lancer pour la première fois, la salle a une place pour toi.

La boxe éducative est le cœur du dispositif. En 2018, cette section comptait à peine une quinzaine de jeunes. Aujourd’hui, elle avoisine les 200 licenciés. Sur le ring, les contacts sont contrôlés, le but n’est pas de faire mal mais d’apprendre à gérer la distance, la technique, le stress. Les arbitres veillent à ce que tout se passe dans le respect, et les coachs restent focalisés sur l’apprentissage, pas sur le KO.

Pour les tout petits, la section découverte (environ 4 à 8 ans) joue un rôle clé. Pas question de les jeter dans des combats. On parle de motricité, de coordination, de jeux avec des gants légers, de mini-exercices de shadow boxing. Ils apprennent à écouter, à se déplacer, à garder leurs mains en place. Ils sortent de la séance rouges, morts de fatigue mais avec le sourire, et surtout avec des bases mentales : écouter, respecter la consigne, ne pas se moquer des autres.

Pour les ados et adultes, la section amateur/loisir permet à chacun de progresser à son rythme. Certains viennent pour la forme physique, d’autres rêvent de compétition. Les coachs adaptent le contenu : technique de frappe, enchaînements, travail au sac, circuit de préparation physique, séances moitié technique moitié cardio. Le leitmotiv reste le même : engagement, sérieux, pas de triche avec soi-même.

La grande fierté du club, c’est aussi sa section féminine. Avec environ 70 pratiquantes, Combat 31 affiche l’un des plus gros collectifs féminins de toute l’Occitanie. Là où certains voient encore la boxe comme une affaire de mecs, ici les femmes sont au centre du jeu : travail technique, renforcement, sparring adapté, encadrement attentif. Beaucoup viennent pour se défouler, gagner en assurance, se prouver qu’elles peuvent encaisser et répondre.

  • Kids (4-8 ans) : dĂ©couverte ludique, jeux, motricitĂ©, discipline de base.
  • Boxe Ă©ducative : 200 jeunes, combats contrĂ´lĂ©s, apprentissage technique et mental.
  • FĂ©minines : ~70 licenciĂ©es, entraĂ®nements variĂ©s, mix entre technique et condition physique.
  • Amateur/loisir : pour ceux qui veulent progresser sans forcĂ©ment viser le haut niveau.
  • CompĂ©titeurs rĂ©gionaux : participation aux championnats amateurs, dont les finales d’Occitanie.

Pour y voir plus clair, voici un tableau des principales sections :

Section Âges / Public Objectif principal Contenu type
Découverte 4 à 8 ans Initier au cadre, à la motricité et au respect Jeux, déplacements, garde, mini-exercices de frappe
Boxe éducative Enfants et ados Former au mindset sportif et à la technique Drills, combats éducatifs, travail à deux
Section féminine Ados & adultes Confiance, autodéfense, condition physique Shadow, sac, renfo, sparring protégé
Amateur/loisir Ados & adultes Progresser en boxe sans pression de haut niveau Technique de frappe, cardio, travail tactique léger
Compétiteurs Boxeurs engagés Préparer les championnats régionaux et nationaux Sparring intensif, stratégie de combat, préparation physique ciblée

Ce découpage permet à chaque pratiquant de trouver sa place et d’évoluer sans se griller. Un débutant peut démarrer en loisir, puis basculer sur un parcours plus compétitif si sa motivation et sa discipline suivent. Une jeune fille peut tester la boxe pour se renforcer mentalement, puis décider de monter sur le ring en éducatif.

Avec cette organisation, Combat 31 ne se contente pas d’ouvrir ses portes : le club construit de vrais parcours de progression, cohérents et motivants.

Un esprit de famille : bénévoles, anciens boxeurs et mental de combattant

Ce qui frappe quand on entre dans une salle comme Combat 31, ce n’est pas le matériel dernier cri mais les visages. Ici, l’équipe encadrante est composée quasi exclusivement d’anciens boxeurs du club. Ils connaissent la salle de l’intérieur, ils ont transpiré sur les mêmes tapis, ils ont fait leurs premiers combats sous le même blason. Aujourd’hui, ils reviennent pour transmettre. Pas pour un salaire, mais par engagement. Toute l’équipe fonctionne en bénévolat, des entraîneurs aux dirigeants.

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Au centre du dispositif, on retrouve Senouci Elbechir, coach principal et trésorier, figure de la salle. À ses côtés, des profils comme Fabien Curmi, boxeur et entraîneur de la section éducative, qui assure aussi le rôle de secrétaire. Et bien sûr Abdala Tarfa, le président, ancien pratiquant lui aussi. Ensemble, ils forment un noyau dur qui maintient le même cap saison après saison : rigueur, respect, loyauté.

Cette configuration change tout pour les jeunes. Ils ne sont pas face à des “théoriciens du sport”, mais à des gens qui ont déjà serré le protège-dents et encaissé des coups en vrai. Quand un coach explique comment gérer la pression avant un combat ou comment se relever après une défaite, ce n’est pas un discours vide. C’est du vécu. Les jeunes sentent cette authenticité, et ça crée un lien particulier.

L’esprit de famille se traduit aussi dans le fonctionnement au quotidien :

  • PrĂ©sence constante : les coachs connaissent les prĂ©noms, les histoires, les galères des jeunes.
  • SolidaritĂ© : quand un boxeur prĂ©pare un championnat, tout le groupe le pousse.
  • Transmission : les plus anciens encadrent parfois les plus jeunes sur des ateliers simples.
  • Respect des anciens : ceux qui ont portĂ© les couleurs du club avant sont Ă©coutĂ©s.
  • Humour et exigence : on chambre un peu, mais le sĂ©rieux revient dès que le chrono dĂ©marre.

Pour illustrer cet esprit, imagine un gamin, Samir, 13 ans, qui débarque au club un peu perdu. Au début, il garde la tête basse, pas trop de regard. Au fil des mois, un coach le prend sous son aile, l’aide à corriger sa garde, le fait bosser sur son cardio boxe, lui donne confiance sur des petits combats éducatifs. Puis un jour, c’est lui qui montre à un nouveau comment se bander les mains. Ce basculement-là, de “je subis” à “je transmets”, c’est exactement ce que cherche Combat 31.

On peut résumer l’ADN humain du club dans ce tableau :

Rôle Qui Spécificité Impact sur le club
Président Abdala Tarfa Ancien boxeur, porteur du projet associatif Vision, structuration, reconnaissance institutionnelle
Entraîneur principal Senouci Elbechir Figure historique, exigence technique élevée Qualité de l’entraînement, continuité sportive
Entraîneur éducatif Fabien Curmi Boxeur, pédagogue avec les plus jeunes Progression des enfants, ambiance sereine
Bénévoles Anciens boxeurs du club Connaissance du terrain, loyauté au projet Stabilité, encadrement renforcé, proximité
Jeunes encadrants Licenciés en progression Aident sur des tâches simples Transmission, responsabilisation, fierté

Cette alchimie entre bénévolat, expérience du ring et mental solide crée un environnement rare : une vraie “famille boxe” où chacun sait qu’il compte, du plus petit au plus aguerri.

Des rings aux championnats d’Occitanie : l’impact sportif et social de Combat 31

Avec un tel socle humain et associatif, Combat 31 ne pouvait pas rester longtemps dans l’ombre. Le travail sérieux finit toujours par payer. Sur le plan purement sportif, le club est désormais suffisamment respecté pour se voir confier l’organisation de grosses échéances comme les finales des championnats d’Occitanie amateurs, disputées au complexe Marcel-Cerdan à Toulouse. Ce n’est pas un détail : confier une telle compétition à une structure, c’est reconnaître sa fiabilité, son organisation et son engagement pour la boxe régionale.

Ces événements ont un double effet. D’un côté, ils permettent aux jeunes du club de voir le haut niveau amateur de près, de sentir l’ambiance des gradins, de comprendre la pression d’un vrai jour de combat. De l’autre, ils mettent le quartier et le club en lumière, montrent ce qu’un projet sérieux peut produire comme dynamique positive. Pour les benjamins, minimes, poussins de la région, venir boxer dans une compétition organisée par Combat 31, c’est déjà une sorte de consécration.

Le club ne se contente pas d’organiser. Il forme aussi des boxeurs et boxeuses prêts à représenter ses couleurs entre les cordes. Sans forcément chercher le buzz, plusieurs jeunes issus de la boxe éducative ont déjà participé à des championnats régionaux, et certains poussent progressivement vers des ambitions nationales. Ce sont des trajectoires construites sur la durée, à base de préparation physique, de sparring réfléchi et de suivi régulier.

  • Organisation de championnats : finales rĂ©gionales amateurs au complexe Marcel-Cerdan.
  • CatĂ©gories engagĂ©es : poussins, benjamins, minimes, puis adolescents et adultes.
  • RĂ´le social : Ă©vĂ©nement fĂ©dĂ©rateur pour les clubs de Haute-Garonne et d’Occitanie.
  • VisibilitĂ© : mise en avant du Mirail sous un angle positif, via la boxe.
  • ExpĂ©rience : apprentissage de la pression et de la gestion de l’enjeu pour les licenciĂ©s.

Dans ce contexte, Combat 31 fonctionne comme un pont entre le quartier et la scène sportive régionale. Les jeunes voient que la rigueur paye, que le mindset combat – arriver à l’heure, respecter le poids, rester concentré, assumer le résultat – n’est pas un discours abstrait mais une réalité le jour de la pesée et du gong.

Pour mieux visualiser cet impact, voici un tableau récapitulatif :

Domaines Actions de Combat 31 Résultats concrets
Sportif Entraînements réguliers, participation aux compétitions, sparring encadré Boxeurs prêts pour les championnats d’Occitanie, progression technique
Organisation Accueil de championnats amateurs, gestion d’événements régionaux Reconnaissance par la FFBoxe et le comité régional Occitanie
Social Présence dans les quartiers, fêtes locales, liens avec les écoles Image positive de la boxe, vecteur d’inclusion et d’éducation
Territorial Ancrage au Mirail, interactions avec d’autres clubs de Haute-Garonne Réseau solide, échanges sportifs, dynamisation locale
Culture boxe Promotion des valeurs de respect, discipline, humilité Jeunes sensibilisés à un lifestyle boxeur sain et structurant

Au final, Combat 31 prouve qu’un club de quartier peut peser à la fois sur le plan sportif et social, sans perdre son authenticité. Le message envoyé aux jeunes est clair : tu n’as pas besoin de naître dans un grand centre d’entraînement pour développer un vrai mental de boxeur. Tu as surtout besoin d’une salle qui croit en toi et qui ne lâche pas le cadre.

Comment s’inscrire à Combat 31 au Mirail ?

L’inscription se fait directement au club, sur les horaires d’ouverture des séances. Il suffit de venir avec une tenue de sport, un certificat médical pour la pratique de la boxe et les informations nécessaires pour remplir le dossier. L’équipe t’explique ensuite dans quelle section tu peux commencer : découverte, boxe éducative, féminine, ou amateur/loisir.

Combat 31 est-il adapté pour un débutant total en boxe ?

Oui. Le club accueille beaucoup de débutants, enfants comme adultes. Les premières séances sont centrées sur la garde, les déplacements, le cardio de base et le respect des règles. Tu n’es pas envoyé en sparring tout de suite : tu construis d’abord tes bases techniques et ton mental étape par étape.

Les filles ont-elles leur place Ă  Combat 31 ?

Complètement. La section féminine est l’une des plus importantes de la région, avec plusieurs dizaines de pratiquantes. Les entraînements sont pensés pour leurs objectifs : confiance en soi, technique, condition physique, parfois compétition. L’ambiance est respectueuse, sans jugement, avec un cadre clair.

Est-ce que Combat 31 ne forme que des compétiteurs ?

Non. Une partie des boxeurs et boxeuses choisit la compétition, mais beaucoup restent en loisir ou en boxe éducative. L’objectif premier du club est l’éducation et la progression personnelle, pas de fabriquer uniquement des champions. Chacun peut fixer ses objectifs, du simple maintien en forme à la participation aux championnats d’Occitanie.

Quelles valeurs sont mises en avant dans ce club de boxe toulousain ?

Combat 31 insiste sur l’humilité, la discipline, le respect, l’engagement et la solidarité. La boxe sert de cadre pour apprendre à se canaliser, à respecter l’autre, à encaisser les difficultés et à se relever. Ces valeurs sont appliquées à l’entraînement, en compétition et dans la vie quotidienne des jeunes.

Source: www.ladepeche.fr

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